Les années passent, les saisons défilent et le Judo club mérois affiche toujours (ou presque) de très bons chiffres : près de 200 licenciés, pratiquement 20 judokas à chaque entraînement (cinq par semaine), de multiples déplacements en compétitions le week-end dans le département et en région, des dizaines d’arbitres et de commissaires formés et un titre de vice-champion de France en judo adapté, signé Hubert Pilleboue.
Olivier Lanoux, lors de la récente assemblée générale (très rapide en raison de la chaleur sur le tatami), ne pouvait qu’afficher sa satisfaction : « La marque de fabrique du club est de vivre et de pratiquer le judo et d’autres disciplines ensemble. Notre enthousiasme et l’excellente ambiance nous permettent de nous développer sans cesse. »
Engagement dans le judo adapté, stage technique, accueil de plusieurs tournois, organisation d’un loto et participations à des dizaines de compétitions (du mini-poussin au vétéran), le club est toujours en mouvement et en quête de nouveauté. Mer enregistre quatre nouvelles ceintures noires 1er dan. Tous ces résultats sont dûs, certes, à l’investissement des bénévoles mais aussi à celui des deux entraîneurs salariés qui font respecter toutes les valeurs du judo.
Le budget affiche un léger déficit, le loto ayant été moins rémunérateur. L’essentiel des recettes provient des licences, de la municipalité, des partenaires et du loto.
Olivier Lanoux, lors de la récente assemblée générale (très rapide en raison de la chaleur sur le tatami), ne pouvait qu’afficher sa satisfaction : « La marque de fabrique du club est de vivre et de pratiquer le judo et d’autres disciplines ensemble. Notre enthousiasme et l’excellente ambiance nous permettent de nous développer sans cesse. »
Engagement dans le judo adapté, stage technique, accueil de plusieurs tournois, organisation d’un loto et participations à des dizaines de compétitions (du mini-poussin au vétéran), le club est toujours en mouvement et en quête de nouveauté. Mer enregistre quatre nouvelles ceintures noires 1er dan. Tous ces résultats sont dûs, certes, à l’investissement des bénévoles mais aussi à celui des deux entraîneurs salariés qui font respecter toutes les valeurs du judo.
Le budget affiche un léger déficit, le loto ayant été moins rémunérateur. L’essentiel des recettes provient des licences, de la municipalité, des partenaires et du loto.